Dans la politique de pluridisciplinaire, votre site est allé rencontrer le secrétaire général de la fédération guinéenne de cyclisme. Il a été question de parler de cette instance à bâton rompu Lisez
Comment se porte votre fédération ?
La fédération guinéenne de cyclisme se porte tant bien que mal. Depuis l’octroie par Bantama SOW des 200 vélos, 200 casques, et 50 pneus, on n’a immédiatement repartit sur l’ensemble des ligues en raison de 12 chacune. Mais il se trouve actuellement que beaucoup de ces vélos sont garé par faute de pneus de secours .Nous avons remonté l’information au niveau du département mais pour l’instant rien à signalé. Sinon ce don était repartit de Conakry jusqu’à N’Nzérékoré.
Les perspectives de votre instance ?
Nous avons à cœur l’organisation du tour de Guinée comparativement aux autres pays du monde. Nous avons monté un projet pour ça depuis 2013 avec Bantama Sow. Vous savez le cyclisme n’est pas comme le football, ou avec 200.000 fg on peut regrouper des jeunes. Alors qu’en cyclisme, il faut 300.000 fg pour un entraiment surveillé.
Qu’est ce qu’il faut pour faire un tour de Guinée ?
Pour faire un tout de Guinée ça demande, des millions. On peut aller vers les sociétés pour qu’elles réagissent, mais c’est l’état qui doit réagir comme ça se passe dans les autres pays du monde.
Comment vous gardez vos athlètes sans compétition ?
Nous avons toujours gardez nos athlètes en payant avec nos maigres moyens deux machines pour les permettre de s’entrainer. Ces machines sont placées chez le capitaine à Hamdalaye. On n’a payé ces appareils pour permettre à nos jeunes d’être à l’abri des accidents. Sans cette mesure de sécurité, ces jeunes risquent de perdre la vie. Donc ils entrainements de façon surveillée tous les jeudis, vendredis, samedis pour pouvoir pédaler sur place.
Quel appel avez-vous a lancé ?
Nous demandons au département de faire face au cyclisme. c’est une discipline sportive qui est mieux indiquer pour faire la promotion , soit du gouvernement mais aussi des produits commerciaux, des sociétés en place. Au gouvernement de les faire intéresser à ce sport, ce n’est pas le football seulement qui est en Guinée. Le cycliste part vers le public. c’est pas le public qui viens vers nous. La fédération elle-même a montée des projets pour beaucoup de sociétés qui nous ont tenues des promesses mais non réalisable pour le moment.
