A l’image de son entraineur, le capitaine du Syli cadet a reconnu que le manque de réalisme a été la base de leur défaite. Mais rien n’est perdu encore pour les deux autres sorties. Il s’agit de Sékou CAMARA Bandjan.

« C’est vrai qu’on a perdu hier face à l’Iran (1-3). Moralement on était un peu abattu à la fin du match mais bon ! Cela fait partie du football. On a eu des occasions qu’on n’a pas concrétisées. Contrairement à nos adversaires qui ont été beaucoup plus réalistes. Nous allons essayer de corriger toutes nos erreurs. Et faire mieux que le match d’hier.

C’est à nous d’être fort dans la tête. Et surtout être conscient de l’enjeu qui nous attend car rien est perdu encore. Il nous reste deux matches qu’il faut forcement gagner pour avoir le ticket de la qualification. »

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